Alaska, la dernière frontière

On dit souvent « c’était comme être au bout du monde », « on se serait cru à l’autre bout du monde », mais combien de fois est-ce vrai ? Combien de fois allez-vous vous retrouver à quelques mètres de cathédrales de glace qui pour un peu, vous feraient redevenir religieux ? De grizzly qui passent à quelques mètres de votre chemin ? Sur des routes qui alimentent l’imaginaire des routiers de la planète entière ? Pensez que la Panaméricaine va de l‘Alaska au Chili ! Il y a des endroits en ce monde qui vraiment prennent aux tripes. La Patagonie, tout au sud de cette route, par exemple. Le pôle nord, quelques autres, et l’Alaska, The last frontier, comme vous préviennent les plaques d’immatriculation. Ici les esquimaux sont des rockers (Smithsonian Folkways) qui imprègnent leurs albums de pêche, d’animaux, et de bateaux. Les gens réussissent le tour de force de s’adapter à un isolement et à une solitude infernales. Ils ont fait rêver Ansel Adams qui nous a donné des clichés sublimes du Mount McKinley. John Muir, l’un des premiers naturalistes modernes, tous les aventuriers, les explorateurs, les fous de voyages…

Il a fallu aller de Missoula à Seattle (pas de vol direct jusqu’en Alaska), puis de Seattle à Anchorage, puis d’Anchorage à… Oh, je ne vais pas tout vous dire tout de suite. Vous verrez bien.

Ce contenu a été publié dans Travel, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

1 réponse à Alaska, la dernière frontière

  1. Dear Francisca,

    Thank you so much for your kind words! It brought back so many memories – please, if you ever are able to come back to Alaska, you know you always have a place to stay 🙂 Give your sweetie a big hug from us, and God Bless!

    All our love,
    Jess & Family
    Alaska’s Ridgewood Wilderness Lodge

Les commentaires sont fermés.